NDS : j'ai pris quelques passages et répliques d'un manga qui me tiens beaucoup à cœur : "Nana". Pour des raisons techniques, ce chapitre sera écrit en bleu, désolé...

PDV Joyce :

 

Mon cœur battait à tout rompre. Cette question me faisait trembler comme une feuille, cette simple phrase me déchirait de l'intérieur. Je regardais alors mes pieds, je ne pouvais pas affronter son regard si persistant sur moi. Je savais que je devais répondre, mais je n'en avais pas le courage. Cela me faisait remonter de trop mauvais souvenirs. Certains diront que je suis trop sensible, mais qui a vécu ce que j'ai vécu... Qui s'est fait violer par la personne qu'il aimait ? Qui peut l'avouer comme ça, à des gens que l'on connait pas ?! Je levais la tête espérant faire partir les goutes d'eau salée qui perlaient mes yeux. Je regardais les ombres mouvantes des arbres autour de nous. J'avais peur de dire quelque chose.

Je n'ai pas compris sur le coup, je ne sais d'ailleurs toujours pas ce qu'il s'est passé. Je sais juste que ce contact à fait couler des larmes sur mes joues. J'étais tellement surprise que je n'ai pas penser à fermer les yeux. Je devais avoir l'air bête. Il m'embrassait sous la lueur pale de la lune. C'était une sensation ma foi agréable. Sanji avait posé sa main sur ma hanche et avait pivoter pour se retrouver face à moi. C'est alors que j'ai senti quelques gouttes sur ma tête, la pluie commençait à tomber alors que ma pluie coulait toujours de mes yeux. Il s'est alors séparé de moi. Je n'ai jamais vu cette expression sur lui. Un mélange d'inquiétude, de sérieux, un lueur d'espoir dans ses yeux. Cela m'a également surprise.

«Si tu ne veux pas le dire, je ne te force pas. Je te laisserais le temps qu'il faudra.»

Je n'en croyais pas mes oreilles. Alors qu'il me posait un baiser sur le front, il me prit la main et plaça sa veste sur ma tête. Je rougissais à vu d'œil. Nous courions à vive allure dans les rues direction le restaurant.

Tu sais Alison, je crois que jamais je n'oublierais ce jour, ce jour si spécial. Tu te souviens de cette pluie incessante ? Je la vois encore couler sur mes cheveux blonds. J'entends encore le son des goutes s'écrasant contre le sol. Tu sais aujourd'hui je me pose encore plein de question. Alison, si tu savais tout, si tu savais comment tout c'est passé. Parfois encore, je me sens inquiète, j'ai l'impression que mon quotidiens d'aujourd'hui n'est qu'un rêve. Dis Alison, tu te souviens de notre rencontre ? Bizarrement, à ce moment, j'étais sur le point de pleurer, je ne saurais pas bien dire pourquoi. La main que tu m'as tendu était extraordinairement chaleureuse et cette chaleur m'est allée droit au cœur... 

 

PDV Alison :

 

Je n'ai pas de suite tout compris. Mon service avait repris environ 5 minutes après ce carnage, et une fois l'autre abruti mit dehors. On ne peut pas imaginer le plaisir que j'ai eu de le virer à coup de coup de pieds au cul ! Avec Ace qui faisait le débile derrière le bar, j'ai passé la soirée le sourire aux lèvres. J'ai soudain entendu un bruit d'eau à l'extérieur, j'ai eu un frisson pendant que Joyce se trouvait encore dehors. Quand j'ai entendu le son de la clochette au dessus de la porte et que je me suis retournée pour dire «bonsoir jeune maître» j'eus un large sourire. Joyce était là, grelottant légèrement. Elle avait le rouge aux joues et Sanji essorait sa chemise. Je suis directement allé la voir, elle avait les larmes aux yeux que j'ai directement essuyés avant de lui faire un câlin. Après quelques mots, nous reprenons notre service.

La fermeture avait eu lieu il y a quelques minutes. Joyce et moi étions en train de nettoyer les tables quand le patron vint nous voir.

«Beau boulot les filles.

-Merci boss.

-M-merci papa.

-Voici l'argent de la soirée. Vous avez le début de votre loyer là ?

-Oui.»

Derrière nous, Ace et Sanji arrivaient. Comme à son habitude Ace m'avait prit par la taille, et Sanji tournait autour de Joyce. Je dois bien avouer que j'avais trouvé ça très agréable, mais bon... Merde quoi ! Je... Je veux pas sortir avec ! Je le trouve canon, certes, mais c'est tout ça s'arrête là ! Point barre à la ligne ! Et fuck si les gens sont pas d'accord !

Dehors, il faisait un temps de chien, un peu comme tout les temps en cette période, le temps est lourd, un temps qui est aux orages. J'au à peine le temps d'avoir cette pensée qu'une lumière éclaira la pièce légèrement sombre, à peine quelques seconde après, j'en avais compté 3, un bruit fort et horrible se fit entendre. Je vis Joyce mettre ses mains sur ses oreilles. Le coup de tonnerre à du la surprendre.

«-Les filles, vous êtes loin du bar ? Demanda le boss.

-Assez oui... Un kilomètre à pied, on habite tout en haut de la rue, et elle est immense !

-Vous allez pas rentrer par ce temps !

-Pourquoi pas ? Prétexta la blonde méfiante.

-Il pleut des cordes ! Puis vous allez attraper froid ! Rétorqua Barbe Blanche.

-C'est pas plus mal... dis-je tout bas.

-Je t'ai entendu petit cœur... me susurra Ace.

-Je vais t'en collé une !»

Les personnes se trouvant dans la salle se tournèrent vers moi. J'avais le poing levé et Ace à côté de mon oreille. J'aurais pu le tarter devant tout le monde j'en aurais rien eu à faire ! Je lisais un facepalm énorme mis dans la tête de tout le monde. D'un seul coup, mes joues se sont teintés de rouge...

«-C-continuez boss... avais-je finis par dire.

-Et bien, Sanji et Ace habite juste au dessus avec moi, pourquoi ne restez vous pas pour la nuit ?

-Moui... T'en penses quoi Ali' ? Me demanda Joyce.

-Why not. Avais-je conclus en soupirant.»

Après quelques minutes où les garçons racontaient des conneries, des perversités à en faire rougir plus d'une, des histoires sans queues ni têtes, et d'anecdotes en tout genre, Joyce et moi allons dans les vestiaires en rigolant toujours. Ça fait plaisir de la voir comme ça...

Dis Joyce, à l'époque, je n'étais pas capable d'aimer correctement... Tu crois que maintenant j'y arriverais ?

 

PDV Joyce :

 

Ce soir là Ali', tu m'avais parlé de toi comme jamais avant. Tout en enlevant nos robes de serveuses, tu m'as ouvert ton cœur pour la première fois sur ton passage en prison. Tu m'as confié tes peines, tes espoirs, tes larmes et tes rires. Tu m'as dis que ta colocataire t'en faisait voir de toutes les couleurs au début et que tu me mentais quand je venais te voir. Tu m'as également dis qu'elle cachait un lourd passé et que c'était devenue une personne à qui tu aimais parler. Quand tu me disais ces mots, je lisais sur tes lèvres un sourire nostalgique, je voyais dans tes yeux de la tristesse et du désespoir. Je ne t'avais jamais vu si vulnérable, car entre nous deux, c'est toi qui nous protèges, et jamais, plus jamais je ne veux te revoir comme ça.

Tu te disais tel un oiseau dans sa cage, avec un peu de recul et des années après ce soir là, j'en suis venue à me demander si ce n'étais pas moi la cage dont tu me parlais. Tu me confiais que tu rêvais d'aventures et d'évasions, de révélations et de miracles. Tu rêvais de sensations, es-ce que c'est moi qui t'empêchais de vivre tes rêves ? La seule chose que je ne voulais pas être, c'était d'être tes chaînes, et malheureusement pour moi, je crois que j'étais bien plus qu'une cage et des chaînes pour toi. J'en ai les larmes aux yeux tu sais. C'est ce que je ressens... J'aimerais que tu me console, que tu me dise que tu sera toujours la pour moi, que tu me soutienne encore, c'est un sentiment égoïste tu ne trouve pas ?

Aujourd'hui encore, je me souviens de tous les moments que nous avons passé ensemble, je me rappelle nos rire, nos larmes, nos colères, comme si c'était il y a quelques minutes. Je me souviens de la grande confession que je t'avais faite ce soir là 3 ans auparavant celui-ci...

 

«Je sais tout Alison... Je sais ce qu'il m'a fait... Je sais que Carter me trompe dans mon dos, ça fait un moment maintenant... Je... J'aimerais qu'il me le dise en face ! Je veux le prendre sur le fait !

-Alors on y va !»

Tu avais tant de détermination ce soir-là, nous y sommes allées. Dans le parking de cet hôtel, celui où il travaille. Je l'ai attendu, une demie heure, une heure, deux heure... Ce soir là, tu portais un blouson en cuir. Tu te souviens comment je tremblais ? Il devait être 23 heure et j'avais froid... Tu m'avais fais la morale comme une mère avant de me donner ta veste. Toi tu avais chaud me disais-tu ? Mais j'avais très bien vu la chair de poule sur ton épaule. Puis il est sortit, avec son uniforme hôtelier qui le rendait diablement sexy, une fille d'une tête de moins. Il s'est baissé puis l'as embrasser. Je me suis levé et je ne savais pas comment réagir, alors c'est toi qui l'as fait pour moi.

«A quoi tu joue toi ? Hein ?C'est qui cette fille ? A commencé Alison.

-C'est ma copine. A-t-il fini par avoué.

-Pardon ! A hurler Ali en crachant presque ta salive. Alors comme ça monsieur sort avec deux filles en même temps ? Pff. Et bah t'as la belle vie toi dis-moi.»

J'avais les yeux tournés vers le sol, et des larmes coulaient de mes yeux. Puis j'ai entendu le bruit de tes chaussure courir. J'ai relevé la tête et je t'ai vu, poing fermé, levé vers le haut, prêt à frapper Carter. Mais l'autre pouf s'est précipité devant lui pour le défendre. Et moi, je restais impuissante devant cette scène. Tu le tenais fermement par le col, et l'autre tenait ton bras, et pourtant, on aurait dit que rien ne pouvait t'arrêter et que tu allais abattre ton poing dans sa tête quoi qu'il arrive.

«Laisse-là faire Karin.

-Je vous interdit de frapper Carter.

-Dégage toi ! Je ne sentirais mieux après l'avoir démoli !

-Arrêtez !

-Tire-toi j'te dis ! T'as rien avoir là-dedans !

-C'est vous qui n'avez rien à voir là-dedans !»

Elle avait prononcé d'autres mots dont je n'ai pas le souvenir, je crois même qu'elle t'avait demandé de la frappé. Tu t'es reculé et tu as craqué tes doigts.

«Hupf... Tu as du cran. Puis Alison s'est retournée vers moi. Et toi Joyce ? Pourquoi est-ce que tu ne dis rien !? C'est ton mec non ?! C'est à toi de te battre ! Alors vas-y bats-toi !»

Pour toute réponse, j'envoyais simplement ma tête de droite à gauche lentement, les larmes aux coins des yeux.

«Mais qu'est-ce que t'attends ?! Si tu ne te bats pas maintenant tu vas perdre ! Tu veux récupérer ton mec oui ou non ?»

Toi qui avais attrapé mon bras. Je me suis retournée laissant voler les gouttes d'eau salées.

«Je ne veux plus de lui...Je ne veux plus jamais le revoir!»

Cette phrase à eu le pouvoir de te faire lâcher prise, et j'ai fuis comme une lâche. Tu m'as rattrapé, puis tu m'as pris la main. Nous marchions lentement sortant du parking.

Je n'étais pas assez adulte pour pardonner la trahison. Ni assez forte pour m'accrocher à lui malgré ma blessure. J'ai perdu.

Nous marchions le long du fleuve, en direction de l'immeuble où vivait mes parents. Tu as monté les escaliers, moi derrière, ouvert la porte et est allé jusqu'à ma chambre. Je n'avais plus de force, j'étais perdu. Tu as retirer un bout des couvertures. Je suis entré dans le lit et tu m'as suivis. Tu m'as prise dans tes bras alors que je pleurais encore ce soir-là. Nous nous sommes endormis. L'une contre l'autre, éclairées par la lumière de la lune, traversant les vitres dont on avait oublié de fermer les volets.

 

Le lendemain, comme les jours où je suis malade, je suis restée au fond de mon lit. J'ai laissé passer le temps en essayant de pas trop penser... J'aurais bien voulu me changer les idées... Mais je n'avais pas la force de faire quoi que ce soit... Et malgré mes efforts, je n'ai pas cessé de rêver de Carter... Si tu n'avais pas été avec moi cette nuit-là Alison. Je pense que je me serais jeté à l'eau et que je serais actuellement au fond du fleuve. Je le pense sincèrement... 

 

NDA : Nous sommes vraiment désolé pour le gros retard qu'a pris notre fiction ! Mais voici le chapitre 10, toutes les deux, nous essayons d'approfondir notre histoire, pour que vous vous accrochiez le plus possible aux personnages et que vous puissiez vous identifier à eux et ressentir leurs émotion. Nos chapitre arriveront donc plus lentement que les précédent.

@Civi ♥ @Swordy ♥

 

PDV Luffy (NDC : Oui, je rénove la fanfiction)

 

Ace vint me chercher pour me dire de passer dans sa chambre, il a retrouvé les gâteaux qu'il avait acheté qui était trop bons ? J'allai retrouver mon frère dans sa chambre et y vit Sanji et les deux filles du lycée.

 

- Qu'est-ce qu'elles font là elles ?

 

- Elles, elles ont un prénom, cracha la brune.

 

- Alison et Joyce vont rester dormir ici à cause de la pluie dehors, m'expliqua Ace.

 

- Et Joycinette d'amour dormira avec moiiii ♥, chantonnait Sanji.

 

Papa nous appela pour qu'on aille manger, nous descendîmes donc et nous assîmes tous à table, Papa nous servit. Manger, manger, manger, manger, boire, manger, manger, manger, manger, viande, manger, manger, manger, manger, dessert, manger, manger, manger, manger, gâteau, manger, manger, manger, manger.

 

Je remontai dans ma chambre sans attendre les autres et m'endormis sur mon lit.

 

PDV Alison

 

Bon, puisque ces messieurs refusent de nous laisser dormir dans le même lit, je vais dormir avec Ace, et Joyce avec Sanji. Le pauvre, je le plains tellement ! Quand je suis arrivée dans la chambre du brun, j'ai immédiatement regarder autour. Des fringues partout, des poster légèrement décrochés au mur, des photos de fille sexy sur le bureau -si j'ai vu-, un lit pas fait, un peu de poussière sur les meubles. Les cours sont en vrac sur une étagère, et son sac de cours est écraser entre deux vestes. Nous avons parler une bonne demie-heure, sous les musique que passait la radio locale. Nous avons manger des pâtes à la carbonara préparées par Sanji, honnêtement, elles sont excellente! Je me suis resservie 2 fois! Nous sommes remontés dans les chambres après des anecdotes humiliantes pour Ace et Sanji. Par exemple, j'ai appris que Ace se cosplayait en soubrette, et en wonderwoman! Quant à Sanji, c'était catwoman! Ils avaient des sous-vêtement fétiche aussi! Je vais faire des recherches moi....

 

-Joyce, on se retrouve plus tard dans la soirée? Demandais-je

-Oui, bien sur. Me souria-t-elle.

 

Nous sommes entrées par deux portes différentes. Je m'affalais alors dans le lit défait, Ace me regardait avec un étrange sourire. Je levais un sourcil, incrédule, perplexe, avec un regard noir.

 

-Je vais tout tenter ce soir Alison. Dit-il d'une voix suave.

-Je t'attends... rétorquais-je mettant mes formes en valeur et me pinçant la lèvre.

-Tu veux que je te saute dessus? Dit-il perversement

-Depuis ce matin je veux que tu me saute dessus. Répondis-je en entrant dans son jeu

-Tu vas être servie Ali'...

-Oh, Ace, tu me prend par les sentiments là...

 

Il détourna le regard plaçant sa main sur ses joues avec quelques rougeurs. J'ai gagné cette manche! Mon pauvre Ace, je suis une professionnelle en Malice, tu n'as encore rien vu sur mes capacités.

-Tu... Tu as un pyjama? Demada-t-il timidement.

-Nope.

-Je vais te passer un pull... répondit-il visiblement gêné.

 

Il me tourna le dos et en sortis un t-shirt à manche longue rouge et blanc. C'est ça qu'il appelle un pull ? Sérieusement? Alors, c'est quoi un vrai pull pour lui? Mon dieu, je ne veux pas le savoir. Il m'annonça qu'il allait se doucher. Bon, ma chère Alison, tu vas jouer les Sherlock Ali' et trouver ce que tu veux voir de tes propres yeux. Alors, l'armoire! Je plongea mes bras dedans et envoya sur le lit, un bon nombre de fringues, je découvrit un costume bleu et rouge. Le costume de wonderwoman. Je me suis mise à rire connement, partant dans un fou-rire incontrôlable. Puis surtout, sous une plaque du plancher que j'avais senti creuse en allant vers le bureau, je découvrit une boite de capotes avec un string rose. Tiens, je me demande combien de fille il a mit dans son lit, et surtout, à laquelle il appartient. Je me sentis alors rougir à cette pensée. Je riais nerveusement, et rougissante imaginant que je finirais sûrement moi aussi dans son lit, vu le jeu de malice et de séduction qui s'est dressé entre nous deux. Quel tombeur ce Ace, en même temps... Y a de quoi aussi!

J'entendis la porte de la chambre s'ouvrir. Merde Ace! Il ouvrit de grand yeux voyant le désordre que j'avais pu mettre dans la chambre.

 

-Je me suis fais cambrioler? Demanda-t-il ironiquement.

-Je me suis fais assommée par des vêtements! Je n'ai pas pu voir leurs tête! Me défendis-je.

-Tu me prends pour Ussop?

-C'est toujours bon à tester. Riais-je

 

Il s'approcha de moi d'une démarche assurée et légèrement tremblante, sûrement de peur que je n'ai trouvé des choses qu'il ne fallait pas.

 

-Je te savais curieuse, mais à ce point... dit-il a quelque centimètre de moi.

-Tu ne me connais que depuis ce matin chéri.

-Je crois pourtant t'avoir cerner.

-Un peu trop d'ailleurs.

-T'as trouver?

-Oui! Souriais-je en lui montrant le déguisement de wonderwoman.

-Tu vas le mettre? Dit-il des étoiles plein les yeux.

-Rêve mon petit Ace.

-C'est pas juste! Se plaignit-il.

 

Je reculais jusqu'à sa commode que je bouscula un peu volontairement, je l'avoue. En dessous se trouvait un caleçon tout moisi avec des petits canards et des cœurs dessus. Je me laissais de nouveau partir en fou-rire. Quel idiot ce type! Il doit être la-dessous depuis des années! Il remit sa commode en place son sous-vêtement dessous, comme s'il ne voulait plus le voir. Je riais, comme j'avais rarement ris. Pour me faire pardonner, je lui jura que je n'en parlerais jamais, et je l'aida à ranger.

 

Tu sais Joyce, cette nuit était géniale. Je n'arrives toujours pas à croire qu'on leur ai fait autant confiance en quelques heures seulement. On m'a souvent demander, si je devais remonter le temps, je ferais quoi, je répondais souvent que je ne changerais rien. Ma vie avant était parfaite, je referais les même choix, je laisserais faire les choses. Même si je suis rongée de remords, j'essaye de ne pas regretter. Et toi Joyce, si tu le pouvais, tu changerais le passé?

 

PDV : Joyce

 

Je coupais tranquillement les pâtes que Sanji avait préparé, j'avais, malgré moi, un léger sourire au lèvres. Ace et Papa qui embêtaient tous deux le blond m'amusait énormément. Je regardais Alison en face de moi qui riais aux éclats. Je portais la main à ma bouche pour m'empêcher de faire comme elle. Ce sont des garçons... Je ne dois pas me voiler la face... Je ne dois pas trop leur faire confiance. Ils sont tous pareil... Se sont tous des Carter... Je ne dois pas me faire avoir. Mais dans cette maison il y a une ambiance des plus agréable, je me suis directement senti à ma place. Chose rare. C'était comme s'il y avait un brin de magie la-dedans. C'était un moment merveilleux. Et sans m'en rendre compte, le temps passait, et je regardait Sanji qui s'énervait après son père adoptif.

Nous sortîmes de table un peu plus tard dans la soirée, une chance pour nous que demain, ce soit samedi.

 

-Joyce, on se retrouve plus tard dans la soirée? Demanda la brune

-Oui, bien sur. Lui souriais-je.

 

J'entrais pour la première fois dans la chambre de Sanji. Une chambre bien plus soignée que celle de Ace, le lit est fait, c'est propre, les vêtements sont en boule sur un coin de bureau. J'ouvris un tiroir que j'ai immédiatement fermé. Il y avait plein de photos de Nami et Robin, et certaines doivent dater de nombreuses années! Ça fait assez pédophile ça. Je ne pensais pas que ces 3 là se connaissaient depuis la primaire. On en apprend tous les jours, n'est-ce pas? Le blond sortit de la chambre prétextant qu'il allait aux toilettes. Juste après j'ai reçus un SMS d'Alison, ou plutôt un MMS, j'ai vu un costume de wonderwoman. Qu'est-ce que ça veut dire?

 

De : Alison ♥

A : Joyce

Sujet : LOOK THAT!

J'ai trouvé ça dans l'armoire de Ace! (OwO)

Regarde dans son armoire à lui! Le boss a parler d'un costume de catwoman!

Dis Joyce, tu crois qu'il va me demander de le mettre?

 

La question de mon amie me fit rire. Sûrement. Je n'ai pas répondu, j'ai simplement mis mon téléphone dans la poche de ma veste. J'ai ouvert son armoire en grand, priant pour que Sanji ai eu une envie de grosse commission. J'écartais tous les fringue pour voir un costume en simili-cuir noir, enroulé en boule au fond, dans un coin de l'armoire. Je l'ai sortit, je l'ai déplier. Un bout de tissus qui ressemblait à un long boudin se détachait du reste du costume. La queue de l’héroïne? Je commençais à rire intérieurement. Alors elle avait raison? J'ai regarder sous le lit. Je sais, c'est nul comme cachette, mais on sait jamais! C'est tellement stupide de cacher quelque chose là-dessous que ça en devient génial! J'ai soulevé le drap et bonne pioche! J'en sortis un slip avec une photo de Nami et Robin sur chaque fesse. JE CONFIRME MAINTENANT CA FAIT PEDOPHILE !

Sanji est entré dans la chambre à ce moment précis de gêne. Mon Dieu, il va ma crier dessus! Que vais-je faire s'il m'agresse? Saurais-je me défendre? Ouh, j'ai si peur qu'il soit comme Carter...Si seulement j'avais l'audace d'Alison...

 

-Joyce?

-Je te jure, c'est pas moi!dis-je les larmes aux yeux en me tenant la tête.

-Tu crois que je vais te crier dessus ?

 

Sanji se mit à rire, un rire doux et apaisant. En cet instant, j'ai su que lui, il n'était pas un «Carter». Il s'avança vers moi. J'ai vu qu'il me dépassait d'une tête, moi qui suis plutôt grande, cela m’étonne. Après tout, peut-être que c'est moi qui me fait des idées. Il doit faire 1m90 par là j'imagine. Il posa sa main sur ma tête et caressa mes cheveux. J'en fus très surprise. Je n'ai pu que lever sa tête et sourire de toutes mes dents. Le courage que j'avais toujours rêvée d'avoir avec les garçons, je l'ai avec lui. C'est un sentiment très agréable. Je pourrais le ressentir éternellement, ça ne me dérangerais pas.

-Tu as un pyjama Joy'?

-N-non... dis-je intimidée.

 

Tiens, c'est la première fois qu'il m'appelle par le diminutif de mon prénom et pas son stupide surnom à la noix que je vais foutre là ou je pense.

 

-Je vais te prêter une chemise.

-U-une chemise, à toi? Dis-je le rouge aux joues.

-Bien sur, à qui d'autre veux-tu qu'elle soit? Répondit-il sans avoir remarqué mes rougeurs.

-D'accord... ai-je conclus.

 

Sanji me sortis une chemise noire avec un short blanc. Pas très esthétique, mais on va faire avec. Je le regardait fermer les volets. La pluie n'a pas l'air de vouloir s'arrêter... J'espère qu'on pourra rentrer chez nous quand même... Je rentrais le short dans l'armoire, mon collant opaque noir que je porte sous ma jupe va suffire pour la nuit. Sanji me proposa alors d'aller à la douche, car en sortant des toilettes, il avait fait couler un bain moussant. Bah dis donc, il est au petits soins lui. J'attrapais mon portable et envoya un SMS à Alison.

 

De: Joyce

à : Alison ♥

sujet : c'mon!

Ali' Sanji à fait couler un bain! Viens avec moi ;)

 

Je sortais de la chambre remerciant le blond pour le bain. Je marchais dans le couloir en direction de la salle de bain quand la porte de la chambre d'à côté de celle de Sanji s'ouvrit. Alison couru jusqu'à moi et me sourit. Dans la salle de bain, elle fût la première dans le bain. Je l'ai rejoint quelques secondes après en sautant dans la mousse.

 

-ça t’arrive souvent ce genre de crises? Demanda mon amie

-tout le temps dans un bain! Riais-je

-Pourquoi j'ai accepter ce bain avec toi...

-Parce que tu m'aime?

-Je peux pas faire autrement Joycinette. Me nargua-t-elle.

-Tu me cherches? Commence pas à faire comme l'autre con aux sourcils chelou! M'agaçais-je

-Arrête ça... Je t'ai vu le regarder toute la soirée. Ria-t-elle

-Il me faisait rire! Me défendis-je

 

Alison n'a pas répondu, elle me regardait simplement, un sourire béat sur le visage. Je plaquais mes genoux contre ma poitrine. Elle m'accuse d’apprécier Sanji, mais elle s'est vu avec Ace. C'est vrai qu'elle a toujours été comme ça. Je jalouse ce côté de sa personnalité. Elle ose tout, rien ne lui fait peur. Si on lui dit de faire un saut du haut d'un gratte-ciel si il y a un air bag dessous, ce sera la première à sauter. Je me souviens de nos cours de le gym du collège, tout le monde l'admirait. Alors que pour les figures toutes les filles avaient peur, elle, elle y allait.

 

-Dis-moi Joyce... dit-elle le regard vers le plafond.

-Oui?

-Tu l'as trouvé?

-Quoi?

-Le costume voyons!

 

Le sourire qui ornais son visage à ce moment là. Il était rayonnant. Un simple sourire de sa part suffisait à illuminer une pièce entière. A l'époque, à mes yeux, dans ce monde qui t'entourait Alison, tout était si étincelant que j'en étais éblouie... Ça ne veut pas dire que je voulais également briller... Je voulais juste me tenir dans la même lumière que toi.

 

-Oui, c'était drôle. Lui souriais-je.

-Racontes-moi tout ça!

 

 

Nos sujets de conversations passaient, on parlait de garçons, de musique, de série, des cours, de relations, de connerie, nous ressassions nos souvenirs heureux. Je lui parlait de toutes les découvertes que j'avais faites dans la chambre de Sanji et elle me raconta les siennes. Notre curiosité nous enterrera ma chère Alison. Si tu avais été un homme, Ali', nous aurions pu vivre un amour parfait. C'est ce que je me disais à l'époque. Mais dans ce cas, nous n'aurions sans doute pas eu que de bon souvenirs. Parce que la douleur va de pair avec l'amour, parce que l'amour est un sentiment pénible au point de vouloir se noyer.  

Ecris par @Swordy ♥ & @Miss_Civi♥

 

 

PDV Ace: (NDS: non de Dieu! Que de nouveautés!)

 

Juste après la sortie d'Alison de ma chambre, j'entendis mon portable faire un son. Je le sortis de ma poche avant de voir l'expéditeur. Vivi... Qu'est-ce qu'elle me veut encore? Pas moyen d'être tranquille ici... Je pesais le pour et le contre avant de l'ouvrir.

 

De: la jalouse

A: Ace

Sujet: Réponses?

Alors, as-tu suffisamment réfléchit? Qu'elle est la réponse à ma question? Tu accepte?

 

Mes dents grincèrent et je lançait l'objet qui me servait de portable sur le lit pour le mettre à charger. Il manquait plus que ça... J'étais bien, et il faut qu'elle me balance ça ce soir... Pile ce soir! J'avais complètement oublié... Vivi m'avait annoncé il n'y a pas si longtemps, qu'elle voulait sortir avec moi. Je la voyais plus sur Sanji, voir même Law. Pourquoi m'avait-elle demandé ça ? C'était il y a deux semaines, et elle ne m'avait pas demandé de réponse concrète depuis... Voit-elle en Alison une rivale? C'est vrai que en une simple journée, on s'est rapprochés. Mais faut me comprendre, elle est nouvelle, de plus elle est ma voisine de table, il est donc impossible pour moi de ne pas y parler. Surtout que je l'aime bien... C'est une des rares fille à bien réagir à mes répliques.

Je dois bien avouer que Vivi est très jolie, et que je devrais lui dire oui. Même si pour moi, se mettre en couple avec une personne ne se demande pas. Je l'ai toujours trouvé jolie, j'en étais amoureux à un moment, c'est vrai, mais qu'en est-il aujourd'hui? Depuis le lycée, je ne suis plus sûr de rien. Le seul point négatif que je trouve à cette fille, c'est sa jalousie, envers tous les garçons. C'est sûrement pour ça que mes sentiments à son égard se sont atténué. Que devrais-je faire? Je meurs d'envie de lui dire oui, mais une petite partie de moi me hurle que c'est une connerie et que si je fais ça je vais le regretter. Qu'elle m'a déjà fait tellement de mal, alors pourquoi je doute? Ai-je vraiment des sentiments pour elle? Reprenant mon portable en main, j'ai simplement répondu à la bleu que je devais réfléchir...

Sans attendre une seconde de plus, j'ai changé de chambre, je suis entré dans permission dans la chambre de mon ami blond.

 

-Que me vaut l'honneur de ta visite? Ne me dis pas que tu veux qu'on échange pour dormir avec ma Joycinette?!

-T'as pas changé toi... Toujours autant sur les femmes...

-Que veux-tu! L'amour est la plus belle des choses!

-Je ne te savais pas capable de sortir des phrases avec un sens si profond Sanji.

-Tu ne sais pas grand chose sur moi mon cher Ace.

-Et je ne demande qu'à apprendre...

 

Le visage de Sanji prit une mine sérieuse, il se doutait de quelque chose, il savait que je ne venait pas pour rien. Et il avait bien raison, car j'avais une très bonne idée du pourquoi je venais le voir lui.

 

-Qu'est-ce que tu veux?

-C'est assez délicat...

-Explique, je n'ai pas toute la soirée, je veux passer le plus de temps possible avec ma joycinette!

-Oui, oui... Et bien c'est Vivi...

-Encore? Elle veut quoi? Dit-il une pointe de sarcasme et d’énervement dans la voix.

-Elle me demande une réponse. Avouais-je.

 

Il soupira et je le vis chercher dans ses pensées.

 

-Et toi, t'en pense quoi ? Me demanda-t-il.

-J'en sais trop rien...

-Tu la fait attendre depuis deux semaine Ace.

-Mais je sais pas ce que je veux!

-T'étais pas amoureux d'elle?

-A une époque, mais plus maintenant.

-Dis lui ça alors.

-C'est pas si simple!

-Comment ça? C'est la même chose!

 

Je n'ai pas pu répondre. C'est vrai ça. C'est la même chose. Je ne l'aime plus, mais pourquoi ne pouvais-je donc pas lui dire ça...

 

-Tu sais quoi Ace? Dit-il avec un air dédaigneux

-Hum?

-T'es qu'un sale égoïste.

-Hoy! Je te permet pas!

-Mais putain, t'as vu comment tu agis avec les filles? Tu joue avec elles! Tu t'en fou complet, tant que tu peux tremper ton biscuit dans du chocolat chaud! C'est comme ça que t'as toujours agis! Avec des filles d'une nuit que tu revois quand tu te sens seul ou pour te changer les idées! Et elles, elles sont tellement amoureuses qu'elle ne voit rien! Et tu fais en sorte qu'elles ne sortent avec personne d'autre pour les garder que pour toi! Alors oui, t'es qu'un sale gosse égoïste!

 

Je ne pouvais pas répondre... Il avait raison... Je ne pourrais jamais me poser correctement avec une fille... Me faire remonter les bretelles par Sanji me faisait plutôt mal... Je n'avais pas vu les choses sous cet angle... Je suis qu'un sale égoïste qui agis pour son bon plaisir... C'est vrai, qu'est-ce qu'il nous dit que pour Vivi aussi, ce ne sera que pour un coup d'un soir puis au revoir. J'ai toujours fais ça... Alors oui, il a raison.

 

-Écoute, Vivi est une personne que j'apprécie énormément, et je ne veux pas que tu lui fasse du mal. Fais-lui verser une seule larme, et l'image que tu as de moi n'est plus. Alors dis-lui clairement «Oui» ou «Non».

-C'est ce que je vais faire. Je vais lui dire oui.

-Fais pas de conneries...

-T'inquiète, je gère!

-Justement, c'est ça qui me fait peur.

 

J'ai demandé à Vivi un délai d'une semaine avant d'y répondre clairement, car il fallait que je mette au point mes sentiments.

 

PDV Sanji:

 

La décision d'Ace de demander un délai était sûrement la meilleure. Je ne le laisserais pas détruire Vivi. Mais elle, pourquoi veut-elle sortir avec lui? Elle m'avait dit qu'elle voulait sortir avec Law. Je ne comprends pas. Il va falloir que j'ai une petite discutions avec elle. Si son cœur balance au point de changer de mec toutes les semaines, ce n'est pas elle que je vais protéger. Je ne devrais pas faire de mal à une femme, mais si cela concerne Ace, qui est un ami bien plus important qu'elle, je n'utiliserais pas la violence, mais je lui ferais comprendre que ces choix sont mauvais.

 

Je suis sorti de la chambre alors qu'il s'asseyait sur mon lit, les coudes sur les genoux, la tête au creux de ses mains, réfléchissant à cette histoire qui lui semble de plus en plus compliqué. Je le vois bien qu'Alison lui plaît, au même prix que Joyce me plaît. J'attrapais mon téléphone, parcourais mon répertoire pour tomber au final sur Vivi, que j'appelais.

 

-Allô? Dis une voix féminine.

-Viviiiii chériiiiiiie!

-Tiens donc... Sanji.... Qu'est-ce que tu veux? Soupira-t-elle.

-C'est plutôt à moi de te dire ça.

 

Ma voix a du la surprendre. Pour preuve, elle n'a simplement pas répondu. J'avais été plutôt froid, c'est vrai.

 

-P-pourquoi tu dis ça?

-Tu demande à Ace de sortir avec toi, alors que hier tu me dis que tu veux être avec Law? A quoi tu joue?

-Mais à rien!

-Pas à moi Vivi.

-T'as gagné! Je les aimes pas les nouvelles! Alors hors de question que je leur facilite la vie.

-Quoi?! Mais pourquoi?!

-Je sais pas.... C'est physique.

-T'es stupide.

 

J'ai raccroché sans lui laisser le temps de répondre. J'y crois pas... Elle n'ont rien fait pourtant, alors pourquoi s'en prendre à elle ?

 

PDV Joycinette :

 

Alors que nous étions dans le bain, à nous prélasser dans l'eau chaude et mousseuse nous rappelant notre lointaine jeunesse où nous en prenions encore ensemble, je fis l'immense effort de mettre de la mousse sur le doux visage de ma bien aimé Ali' qui me lança un regard foudroyant en me rendant la pareille. Nous nous insultions tout en rigolant et balançant de la mousse très souvent accompagnée d'eau.

 

- Tu ne gagneras pas ! Stupide blondasse !

- Nourris ton cerveau bonnet D !

- Mon intelligence te perdra fesses rondes !

- Faut-il que tu puisses irriguer ton cerveau avec tout ce qui passe dans tes seins !

 

Et nous nous lancions des piques, parlant de plus en plus fort. Nous nous balancions de l'eau jusqu'à que je la prenne par les épaules et que je la secoue. Alors qu'elle se débattais et que nous nous étions lever, elle glissa, m'emportant dans sa chute et nous atterrîmes sur le carrelage froid, Alison à califourchon sur moi. La porte s'ouvrit dans un grand fracas et nous laissa voir le blond et le brun les yeux ronds. Ace tourna de l’œil, atterrissant lourdement sur le sol, et Sanji saigna du nez en s'écroulant à genoux.

 

- Il n'y a rien de plus beau qu'un corps mouillé, mais deux, s'en est trop pour moi.

 

Puis il s'écroula sur le sol froid, prenant le même aspect que son ami. Puis, Ailson et moi nous regardâmes, nous levâmes et nous foutîmes, non sans nous être équipés de serviettes aux préalable, nos pieds dans les visages des deux crétins.

 

- DEGAGEZ DE LA BANDE DE PERVERS ! Nous dîmes à l'unisson.

 

Ils sortirent de la salle à grand coup de pieds au cul. Nous nous assîmes sur le sol et, dans un regard qui voulait tout dire, nous nous mîmes à rire d'un rire cristallin. Nous avons enfilé nos pyjama et sommes de nouveau partis dans nos chambres respectives.

 

PDV Alison :

 

2 mois plus tard.

J'ai plutôt bien dormis cette nuit là. Nos premiers examen sont tomber la semaine avant les vacances de noël. Joyce et moi nous en sommes sortis haut la main, elle a eu 85 et j'ai eu 81. Il faut dire, nous avions passé la plupart de ces dernières semaines à bosser comme des malades, et nos résultat sont plus que convenable. Par contre, Ace et Sanji, eux, pas vraiment. Ace a eu 56 et Sanji 60. Voilà ce qu'on récolte à ne rien glander !

Comme d'habitude, Joy' et moi sommes sur le toit, vite rejoins par les deux autres.

 

-Je t'ai battu!!! T'as de trop gros boobs pour être intello comme moi!!

-Ta gueule gros cul ! Tu me les brises !

-Je t'aime d'amour choupi !

-Va te pendre c*****e !

-Tant d'amour, que c'est beau !

-Je t'emmerde avec toute la politesse se trouvant en moi !

-Autrement dit.... Pas grand chose.

-Merci ! Je sais pas comment le prendre..

-Prends le bien Ali'.

 

Nous pouffions de rire, ces disputes sont plus que normales, et n'ont rien de méchant. J'aime parlé avec Joyce. C'était la pose midi, cet aprèm nous auront les résultats des matières scientifiques. Les langues c'est le plus simple... Les sciences, c'est une autre histoire. Nous étions à présent 8, Robin, Nami, Luffy et Zorro venait de nous rejoindre. Un calme plat régnait ici. C'était pesant, alors je décider de briser la glace.

 

-Dis Joyce, tu as ta guitare ?

-Oui, pourquoi ?

-Tu peux chanter ? Comme à l'époque...

 

Je vis son regard s'assombrir, la dernière fois qu'elle a jouer de la guitare, c'était pour Carter. Je comprends que ça lui fasse du mal, il l'a poursuivit tout ce temps... Même ici... Joy' ne perd pas espoir, je t'aiderais quoi qu'il se passe.

 

-J-je ne peux pas...

-Tourne la page, je serais toujours là.

 

Je lui souris tendrement, ce dernier a du l'encourager puisqu'elle s'est lever.

 

PDV Joyce :

 

Elle a raison, je dois arriver à rejouer comme avant. Je me suis lever et ai descendu les escalier, une boule dans le ventre, grandissant au fur-et-a-mesure que j'approchais mon casier. Je posais la main sur mon cœur pour calmer ses battement, le suppliant de ne pas exploser. Re-chanter, devant tout le monde... Avec la guitare... Non, je dois y arriver. Je dois passer ce cap.

J'ouvris mon casier, pris la housse de la guitare et la posa sur mon dos. Je serais la sangle entre mes doigts, stressant encore plus. Mon Dieu, si tu existe, donne moi la force, le courage, et l'envie.

 

Je remontais les escalier, second étage. Je marche dans un couloir, longeant les salles de classe pour atteindre le dernier escalier menant au toit. D'un seul coup, une main m'agrippa le bras. Mes yeux s'arrondirent. Qu'est-ce que c'est ?! Qu'est-ce qu'il se passe ?! Mon Dieu je ne comprends pas !! Que ce passe-t-il ?!

Je me retrouvais dans une salle ou les rideaux étaient fermés, la porte verrouillé (je venais d'entendre le bruit de la clé). Je n'osais pas me retourner, je tremblais comme une feuille. La croix sur mon torse se mis immédiatement à me lancer affreusement. Mes deux mains se posèrent sur la croix, serrant des misérables forces me restant, les couches de tissus au dessus. Mes jambes allaient lâcher. Mon esprit aussi. Je sentis deux bras puissant m'encercler. Je regardais devant moi, paralysée, perdue, tremblant de tout mon être.

 

-Tu ressemble à une feuille ma jolie Joyce. Tu as toujours peur de moi?

-C'est un cauchemar...

 

J'avais murmuré ces mots, les larmes roulaient sur mes joues, mon visage crispée de peur, de rage, et de désespoir. Cette voix, elle était trop reconnaissable... Je ne voulais plus jamais le voir... Dégage, pars !

 

-Tiens?Tu as ressortis la guitare ?

-Au secours...

-Qui penserais venir te sauver ?

-A l'aide !

-Tais-toi !

 

Il me plaqua contre le mur, passant sa main sous ma jupe. Il compte encore me violer ?! Non, je ne le laisserais pas faire !

 

-AU SECOURS !!!

 

PDV Alison :

 

Je discutais gaiement avec les garçons, contant les louanges de Joyce à la guitare et au chant. Cela devait bien faire une grosse année qu'elle ne l'avait pas touché. Il me tardait de réentendre sa voix. Je parlais de tout et de rien avec Ace et Sanji. C'est fou a quel point on s'est rapprochés. Je ne sais pas bien pourquoi mais, j'ai développer des sentiments plus fort pour ces deux garçons. J'étais sur le rebord du toit accoudé et j'attendais Joyce en regardant l’horizon. C'est fou ce qu'elle est longue Joyce a simplement aller chercher une guitare. Alors que Nami venait me parler, j'entendis un petit cri plaintif. Je demandai à tout le monde se taire afin de confirmer mes pensées. Non... Pas encore ça...

 

- A l'aide...

 

Ce murmure, cette voix... Non ! Pas encore !

 

- Joyce !

 

Je partis en courant du toit afin de descendre les étages. Il est encore là lui ! Il ne me la prendra pas, je refuse ! Alors que je parcourais les couloirs, j'entendis des bruits dans une salle de classe. En essayant d'ouvrir la porte, je vis qu'elle était fermée. Je fonçais dedans encore et encore.

 

- Carter ! Ouvre sale enfoiré ou je te referais ta joli gueule d'enculé ! Ah non, en fait je te la referais quand même !

 

- Mais voyons ma belle Alison, des mots comme ça dans une bouche aussi joli que la tienne, c'est très moche ! Et puis, Joyce est très bien ave- AÏE !

 

La porte ne s'ouvrait pas et je commençais à avoir mal à l'épaule. Alors que j'allais taper dedans pour la vingtième fois, quelqu'un m'arrêta. Je tournais la tête vers la touffe verte qui venait de me sauver l'épaule.

 

- Arrête de faire du mal à ton épaule, laisse-moi faire.

 

Alors qu'Ace me prenais dans ses bras pour me calmer, Zorro frappa la poignée de porte d'un grand coup de pied. La porte s'ouvrit dans un grand fracas, nous laissant libre entré dans la salle de classe. Alors que Nami, Sanji et Robin nous avaient rejoins nous vîmes Carter qui avais plaqué Joyce contre le mur, passant sa main sous son uniforme.

 

-Alison... Murmura difficilement Joyce dans un sanglot bruyant.

-Joyce ! Avais-je crié en me précipitant vers eux.

 

 

Ne contrôlant pas cette pulsion vengeresse, je me précipitait sur Carter. Je l'arrachais littéralement de Joyce en déchirant son haut. Une force inconnue brûlait en moi. Je devenais incontrôlable. Je l'ai mis à terre, je le frappais, le tenant fermement, l'insultant, le rabaissant. Il me frappait lui aussi, je saignais, mais ne sentais pas la douleur. J'étais animée par la rage. Comme cette année là, o je l'ai battu pratiquement à mort. Mes ongles se plantèrent dans mes paumes tellement je serrais les poings pour frapper plus fort.

 

-MEURS ! MEURS !MEURS !MEURS ! hurlais-je

• Alison ? Murmura Joyce.

 

PDV Joyce :

 

Ce n'étais pas possible, ce n'est pas elle. E ne peux pas y croire. Elle, faire preuve d'une telle violence, n'est tout simplement pas imaginable. Et pourtant cette scène se déroulé sous nos yeux. Ses yeux sont noirs, il n'y a aucun signe de compassion, de pitié, juste de la rage, de la tristesse, et des remords. Alison, qu'es-tu en train de faire ?

Les autres personnes ne réagissent pas, ils restent là comme des cons. Mais bordel ils ne voient pas qu'elle à besoin qu'on l'arrête !? Alison ne se contrôle plus dans cet état ! Bordel réagissez !!

 

Voyant les autres resté planter comme un baobab, prenant limite racine, j'ai décider de moi-même m'interposer et de l'arrêter. Je me suis lever, et avec tout le courage restant, je me suis mis devant Carter. J'ai vu des larmes dans ses yeux rougis. Son visage crispé, elle avait peur. Son poing s'est abattu sur moi. La puissance d'Ali était impressionnante, je ne l'ai jamais vu comme ça. Constatant qu'elle venait de me frapper, les larmes coulèrent sur ses joues. Même avec toute la force dont elle avait fait preuve, elle paraissait si vulnérable.

 

Tu sais Alison, on dit que le temps efface les blessures, mais c'est faux. Il ne les fait pas disparaître, il nous apprend simplement à vivre avec. J'en suis la preuve vivante puisque mes plaies saignent encore. Et les tiennes Alison, ont-elles cicatriser avec le temps ?

 

PDV Alison :

 

Mes larmes m'ont échappés. Je pleure, et je n'arrête pas. Mon Dieu je viens de frapper Joyce ! Qu'ai-je fais ? Que vient-il de se passer ? Je regarde tout le monde qui me dévisage et me prenne de haut. Ils me regardent d'une manière différente qu'avant. Que c'est-il passé pour qu'ils me regardent ainsi ? Les larmes continuent de couler. Tant de souvenirs reviennent en mémoire. Je perd pied, je ne comprends plus rien. Je... J'ai réagi comme il fallait, n'est-ce pas ? Je... J'ai fais ce qu'il fallait faire ? Alors, pourquoi me regardez-vous comme ça ?

Je sentis deux bras me serrer contre un cœur chaud. Joyce. Sa lèvre saigne, mais elle me sourit. Elle me serre contre elle et j'éclate en sanglots.

 

-Vas-y pleure... Il faut que tu pleure... Tu ne peux plus être forte indéfiniment... Tu as été forte pour moi bien trop longtemps. Lâche tout. Oublie les autres... Moi je ne te laisserais pas, je t'aiderais toujours. Comme tu m'a aidé par le passé. Je te reconstruirais, brique par brique, comme tu l'a fais pour moi. Je te protégerais, te vengerais, au péril de ma vie, comme tu l'as fais pour moi. Mais surtout n'oublie pas, je t'aime, et tu reste le héros de mon histoire, et je me battrais avec toi.

 

Mes pleurs doublèrent. Ces mots, j'en avais besoin. Mon Dieu, qu'aurais-je fais sans elle ? Jusqu'où aurais-je pu aller ? Je ne me contrôlais pas...

 

-Je t'ai arrêté car je savais qu'il le fallait. Je préfère finir avec un poing dans la figure de ta part, plutôt que tu y retourne... Je n'ai pas envie que tes parents t'arrachent à moi... Ne me laisse pas Alison... Ne m'abandonne pas... S'il te plaît, secoures moi encore ! Aide-moi encore !

-O-oui... sanglotais-je

 

Joyce n'a pu se retenir bien longtemps, et s'est mise elle aussi à pleurer. Suivis bien vite des autres filles et les garçons ont détournés les yeux. Tu sais Joyce, je crois qu'on s'est fait de très bon amis.

 

De nombreuses minutes se sont écoulés. Carter s'est enfuis. Nous sommes sortis de la salle. Je suis resté en retrait avec Ace, il voulait me parler.

 

-I-il faut que je te dise Ali'... hésita-t-il

-O-oui ? Dis-je sanglotant encore un peu.

-Je... Ce n'est peut-être pas le bon moment...

-Au point où j'en suis... Achèves-moi. Dis-je.

-Je... Je sors avec... Vivi...

 

Je n'ai pas bouger. Il à continué à marcher jusqu'à ce qu'il remarque que je n'étais plus à ses côtés. Quand je disais «Achèves-moi», je l'avais dis sur le ton de l'humour. Je ne voulais pas qu'il le fasse vraiment. Vu sa voix et son regard, ce n'est pas une blague. Mon cœur loupa des battements à plusieurs reprises. J'ai sentis un grand vide en moi, et mes joues se sont étrangement misent à me brûler ainsi que mes yeux. Je ne pouvais pas y croire... Surtout Vivi... Cette fille qui nous a fait des coups bas pendant deux mois... Qui a retourné tous les gens de notre classe contre nous... Il savait très bien ce que je pensais de Vivi... Et puis... Il y avait moi... Hein, et moi Ace ? Qu'est-ce que tu en fais de moi ? Suis-je vraiment qu'une simple amie pour toi ? J'ai mal Ace...Tu me fais mal... Pourquoi me fais-tu ça ?!

 

-Alison ?

-D-depuis combien de temps ?

-Deux Semaine.

-Ah...

 

Mon univers s'écroula, tout ces liens que j'avais formés avec Ace viennent de se briser sous mes yeux. C'est comme si les fils qui étaient tissés entre nous venait d'être couper par lui. Ce n'étais pas vrai, n'est-ce pas ? Je... Il ne peut pas me faire ça... S'il te plaît, dis-moi qu'il se fou de ma gueule et qu'il va m’annoncer que c'est une blague.

 

-Alison, ça va ? Demanda-t-il

-Je... Ce... Tu plaisante, hein ? Dis-je les larmes aux yeux.

-Je... Ali'... Je... Non... Je sors vraiment avec elle...

-Tu te fou de moi ?! Hurlais-je

-Tu crois sérieusement que je rigolerais avec ça ?! Bordel si t'es pas capable de l'accepté, casse-toi !

-Tu ne te rend pas compte Ace...

-De quoi...

-TU M'AS TRAHIS !!!

 

Sur ses mots je suis partis en courant. Jusqu'en perdre haleine. Je souffre, j'ai mal... Pourquoi j'ai si mal ? Pourquoi je pleure ? Je n'ai pas suivis tous les événements... Je me suis arrêter en plein milieu d'un couloir.

-Pourquoi moi ? Pourquoi nous ? Qu'est-ce que j'ai fais ? POURQUOIIII !!!

 

Je me suis mise en boule, en plein milieu du couloir. Pleurant deux voir trois fois plus que tout à l'heure. Je me sentais trahis, abandonné... Puis avec le souvenir de la prison et de mes parents en tête, avais-je vraiment besoin de ça ? Pouvais-je vivre alors que les événements actuels me prouvent le contraire ?

J'ai décidé d'aller sur le toit à la sonnerie, et de sécher les cours, tant pis pour les problèmes.

 

Dis moi Joyce, est-ce que tu crois au dénouements heureux à la fin des histoires ? Que pense le héros quand son bonheur se coupe au point final ? Ce point, est-ce la mort ? Et nous, serions nous heureuse ? Tu sais, la fin me fait peur, je n'ai pas envie que mon histoire se termine par des larmes, mais je refuse être coupée en plein bonheur. Et toi, tu en pense quoi ?

 

PDV Joyce :

 

Je suis partis en cours sans avoir revus Alison. Ace est arrivé sans elle, et j'avais beau tenté d'y tirer les vers du nez, il ne lâcher pas le morceau. Une chose est sûre, c'est qu'il s'est passé quelque chose. Je la connais, elle se serais confié à moi, ou Ace si la raison me concernés. Je m'en veux de l'avoir laissé aussi mal. Avec ses souvenirs plein la tête, je mettrais ma main à couper qu'elle devient suicidaire.

Les cours ont passé affreusement lentement, je l'ai cherché avec tout le monde dans tout le lycée. Elle n'était nulle part. Et vu son amour pour les sciences, ça m'étonnerais vraiment qu'elle soit au labo de chimie à essayer de se shootée à l'acide chlorhydrique... Oh, wait.... Nous parlons d'Alison.

 

-AAAAACE !! VA VOIR LE LABO DE CHIMIE !!

 

Lui aussi à l'air bizarre, il a l'air de regretter quelque chose. Il s'en veut mais pourquoi ? A-t-il un rapport avec la disparition d'Alison ? J'ai réfléchis pendant que je fouillais les salles de classes. Puis soudain, cela m'est apparu comme une illumination (non, pas illuminati...). Le toit ! Juste, l'endroit préféré d'Ali. Elle me disait souvent que cet endroit la relaxait et l'aider à penser à autre chose.

D'un pas sur et décidé, je me suis mise à courir en direction du toit. Pour mon plus grand bonheur, elle était face à la porte, les mains sur la barrière. Mais pas du bon côté, non, les talons dans le vide, prête à se laisser tomber au sol. J'ai ouverts de grands yeux. J'ai avancé le sourire au lèvres, les larmes dévalant mes joues. Je ne comprenais pas... Avait-elle vraiment des envie suicidaire ? Ce n'était pas possible... Pas la Alison que je connais, pas la forte et courageuse Alison... Pas la personne que j'ai tant admiré, non, cette réaction ne lui ressemble pas...

 

-A-Alison ? Tentais-je

-Je suis désolé... dit-elle en pleurant.

-T-tu ne peux pas... Me laissé... Tu m'a promis et juré d'être toujours la pour moi ! De m'aider ! Me soutenir ! Alison, tu ne peux pas faire ça... Pas à moi... Si tu fais ça, tu es la pire des garces égoïste...

-Il faut croire que je le suis... avoua-t-elle...

-Je... Tu... Pourquoi ?!

-Je... Je ne veux pas y retourner.... Je ne veux plus voir mes parents... Je veux rester avec toi pour toujours....

-Et c'est comme ça que tu compte rester avec moi ?!

-Mon corps n'y sera peut-être pas, mais mon esprit oui...

-Mais je te veux toi toute entière à mes côté !

 

Je pleurais tapant des poings sur le sol. Je ne pouvais pas y croire... Je ne pouvais pas la perdre... Pas elle aussi...Sans elle comment vais-je survivre ?

 

-Alison ! Tu meurs, je te suis !

-Non ! S'affola-t-elle. Ne fais pas ça ! Tu as une longue et belle vie devant toi.

-Toi aussi !

-N-non... Je n'ai plus d'objectif... dit-elle.

-Comment ça ?!

-Ace m'a trahis... Pourtant, il sait bien les sentiments que j'éprouve pour lui... Que c'est plus fort que de l'amitié...

-Alison ! C'est un garçon ! Il est stupide au niveau de tes messages cachés !

-De toute façon c'est trop tard...

-De quoi ? Sanglotais-je

-Il sort avec Vivi... J'ai perdu... pleura-t-elle à son tour.

 

Je ne pouvais pas répondre, je suis resté bêtes devant les faits... Tous les démons d'Alison la suivaient au galop. Je l'ai vu sourire, et se pencher en arrière, en tenant toujours la barière.

 

-Alison NON! Ne fais pas ça !

-Je suis... Désolé...

-Je t'en pris !

-Tu sais Joyce, je ne peux plus être le héros de ton histoire. Mais celui de l'héroine de la mienne est encore « Joyce » ; et c'est une fille adorable... Toi.

 

J'ai vu son grand sourire enjôleur illuminer l'endroit, pendant quelque seconde, j'ai vu la Alison que j'ai toujours connu, souriante et fière. Puis, il s'est vaporisé pour donné place à un sourire tendre et désolé. Ses mains ont lâchés la barrière et son corps à subi un choc face à la gravité. J'ai vu ses longs cheveux bruns s'envoler, après que son corps ai disparu de mon champ de vision...

 

-Alison !!! NOOOOOOOOOON !!!!

 

 

Dis Alison, à l'époque, je n'avais pas conscience de ta souffrance. Le sentiment de trahison et la peur du lendemain sont des choses que je connais...

 

[NDS : non, ceci n'est pas la fin de la fiction, Civi et moi vous réservons un grand nombres de chapitre; j'espère que ce chapitre vous as plus, et que vous attendez la suite. Navrée pour le délais, mais cette fois, il est là ! Sur ce, je vous dis au prochain chapitre ;)]